avec des chiens qui me grognaient dessus, des appels qui ne passaient pas, des rouges à lèvres qui glissaient hors des lèvres, des danses ridicules, des karaokés insupportables, des duvets perdus-échangés-prêtés-retrouvés. Ce que j'ai photographié.
Et des pleurs par défaut, des rires par excès, des huîtres par dizaine, du whisky par gorgée. Ce que j'ai encore photographié.
Autour de 6 heures du matin, las de tous ces enfantillages, mon appareil photo hors de prix a décidé de s'échapper de mon cou pour glisser méchamment vers le sol en un suicide programmé.
Devant l'étendue du désastre (mon appareil photo a presque réussi son coup, ce grand fou), j'ai préféré aller me coucher.
Aujourd'hui, j'ai mal à la tête.
Et les photos sont floues.
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